Ce dimanche 25 Septembre 2016, l’UGDO-France et l’Association des Couturières et Couturiers de Ouidah ont offert les habits scolaires sur mesures à 45 enfants d’orphelinats, de centres sociaux et des handicapés.
La Mairie de OUIDAH et l’UGDO ont organisé la Commémoration de la JOURNEE INTERNATIONALE DU SOUVENIR DE LA TRAITE NEGRIERE ET DE SON ABOLITION du 23 Août 2016. Des Afro-descendants venus du Brésil, de la Guadeloupe, de la Martinique et de la France étaient présents. En images, les différentes étapes de cette manifestation. A la Mairie, à l’Escale de Retour ZOMACHI, au Mémorial de la Fosse Commune de Zoungbodji et enfin à la Porte de Non-Retour.
L’UGDO-France et ses partenaires
– LES LIENS HUMAINS,
ont construit un module de 3 classes avec bureau et magasin au CEG2 de Ouidah. Les travaux, débutés le 01 Février 2016, ont été réceptionnés le 19 Juillet 2016. Le projet-phare de l’UGDO-France pour ses « 30 ans de Solidarité et de Développement » sera inauguré dans les semaines prochaines. La rentrée scolaire 2016-2017 aura bien lieu dans ces classes.
L’UGDO-France et ses partenaires:
– FORIM (Forum des Organisations de Solidarité Internationale issues
des Migrations),
– CRIDF (Conseil Régional d’Ile-De-France),
– LES LIENS HUMAINS,
ont construit un module de 3 classes avec bureau et magasin au CEG2 de Ouidah. Les travaux, débutés le 01 Février 2016, ont été réceptionnés le 19 Juillet 2016. Le projet-phare de l’UGDO-France pour ses « 30 ans de Solidarité et de Développement »
sera inauguré dans les semaines prochaines. La rentrée scolaire 2016-2017 aura bien lieu dans ces classes.
Ouidah dispose d’autres atouts non visibles lorsqu’on traverse la ville. Quittons donc les sites historiques et touristiques pour entrer dans quelques maisons. La ville offre des espaces pour les résidences et entreprises qui feraient pâlir d’autres grandes villes béninoises. On s’y déplace aisément. L’air y est pur. Bref, Le bien-être tout simplement. (Cotonou sera à 30 minutes de Ouidah dès la fin des travaux routiers.) Pour apprécier quelques photos de 2 jardins de maison à Ouidah:
Ouidah en fête. Du 5 au 13 décembre, tous ceux qui se sentent un quelconque lien avec la Cité Kpassè, sont invités, comme l’écrivent les organisateurs, à prendre leur part ou à jouer leur partition dans la symphonie des retrouvailles autour de la fête patronale de Ouidah, édition 2008. Programme d’une exceptionnelle richesse avec des séances d’ako-mlan-mlan, des panégyriques ou des paroles de louange, des opportunités d’affaires, des soirées de jazz, des virées en boîtes de nuit, une exposition artistique, une foire culturelle, sans oublier pique-nique, conférences, carnaval, délices culinaires, projections de films…En somme, un programme alléchant pour participants exigeants.
SÉVÉRIN ADJOVI : « Boni Yayi doit apprendre à respecter ses engagements et changer de méthodes »
(L’Autre Quotidien 18/08/2008)
Sévérin Adjovi tient parole et gère avec sérieux chaque jour, la mairie de Ouidah. Il a rejoint la ville où il habite désormais en permanence, pour être plus proche de ses administrés. L’ancien ministre, plusieurs fois député, chef du parti RDL-vivoten et opérateur économique de dimension internationale, se sent bien dans sa peau de maire d’une ville historique de grande importance et a beaucoup d’ambition pour sa commune. Cela ne l’empêche pas d’avoir son point de vue sur la situation difficile que traverse actuellement le Bénin sur le plan politique.
Le support ayant été conçu pour une grande manifestation de Ouidah, notre ami Dominique QUENUM en a tiré des cartes postales. Ses recherches l’ont amené aussi à trouver de vieilles photos dont celle de Don Francisco Félix de Souza Chacha 1 er(04/10/1754 – 08/05/1849)
Suite aux élections municipales et communales d’Avril et Mai 2008 au Bénin, Ouidah s’est dotée de son deuxième Conseil Municipal. La passation des pouvoirs a eu lieu le vendredi 20 Juin 2008. Voici le nouveau Conseil Municipal.
par Olympe BHELY-QUENUM.*
Le nom originel de OUIDAH est GLEXWE ; ceux qui l’appellent encore ainsi sont légion et pour la plupart Gléxwévidjidji, c’est-à-dire authentiques enfants de la vieille cité, ancien port esclavagiste, dénomination dont l’organisation de La ROUTE DES ESCLAVES permettrait d’apprécier la véracité.